Actualités économiques

Les équipements Télécom ont vu, d’un coup, leur taux de douane passer de 0 à 20%. La Fédération des TIC, relevant de l’UTICA, est monté au créneau pour dénoncer cette augmentation soudaine et son impact sur tout le secteur des Telecom.

Plusieurs réunions ont eu lieu entre les principaux acteurs du secteur et les ministres des Finances et des Technologies de l'information et de l'Économie numérique à propos du décret 2017-419. La Fédération des TIC a déploré le fait que cette nouvelle taxe nuise davantage à tout un secteur déjà fragilisé par la chute vertigineuse du dinar.

Selon le rapport de 2017 « Fragile States Index » qui mesure l’indice de fragilité des Etats, la Tunisie est classée au 89ème rang mondial sur 178 pays avec un score de 74.2, elle gagne ainsi une place par rapport à son classement de 2016 qui est la 88ème place et perd 19 places depuis 2011.

L’investissement dans la culture nécessite un engagement et une conscience plus importants que dans d’autres secteurs économiques. Dans certains pays, la culture est un secteur économique à part entière. En France, par exemple, la contribution des industries culturelles est plus élevée que certaines industries phares, comme le secteur automobile, d’autant plus que la valeur ajoutée culturelle est encore plus importante.

Fadhel Abdelkefi, le ministre du Développement, de l’investissement et de la Coopération Internationale, a signé deux conventions de financement avec le directeur général de la Société Islamique Internationale pour le Financement du Commerce (SIFC), Hani Sonbol.

Un appel d'offre a été publié cette semaine par le ministère de l’Energie, des Mines et des Energies Renouvelables, pour l’installation de 210 MW d’énergie renouvelable, pour un coût de 400 millions de dinars. C'est la ministre Hela Cheikhrouhou qui a annoncé cette nouvelle en précisant que les promoteurs doivent déposer leurs offres au plus tard le 15 novembre 2017.

Le gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie, Chedly Ayari, a déclaré aujourd'hui mardi 16 mai 2017, qu'il tenait plus à préserver les réserves de devises du pays qu'à s'acharner à défendre la valeur du dinar. Il a ajouté qu'un matelas de devises était nécessaire pour backer la masse monétaire en circulation dans le pays. Il a rappelé la grave crise de la balance des paiements (mal) vécue par la Tunisie en 1986, quand les réserves en devises avaient fondu jusqu'à atteindre le seuil alarmant de moins de 5 jours d'importations.