Le ministère de l’Énergie égyptien, Mohamed Ahmed Chaker, a annoncé que la dette de l’Egypte vis à vis des différentes compagnies pétrolières internationales, a atteint son plus bas niveau depuis 2010, pour atteindre 900 millions de dollars.
Un programme de forage de 20 puits de prospection est prévu pour la période 2019-2020, selon le Directeur général adjoint de l’Entreprise tunisienne d’activités pétrolières(ETAP), Abdelwaheb Khamassi, en marge de la 4éme conférence sur le thème : ” Exploration et production des hydrocarbures en Tunisie “.
À la suite d’une longue nuit de négociations et de médiation avec le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi, le gouvernement tunisien vient de trouver un accord avec les sit-inneurs d’El Kamour.
Ledit accord vient d’être signé, vendredi 16 juin 2017, entre le ministre de la Formation professionnelle, Imed Hammami et des représentants des sit-inneurs d’El Kamour.
M.Fadhel Abdelkefi, ministre des Finances par intérim et Mme Héla Chikhrouhou ministre de l’énergie et des mines, se sont réunies le 1er juin 2017, avec les représentants des sociétés pétrolières tunisiennes et étrangères installées en Tunisie.
Selon un communiqué publié par la compagnie pétrolière italienne ENI le 19 septembre 2016, annonçant la fin des travaux relatifs au forage et au test de production du puits Laarich Est-1 de la licence onshore Makhrouga-Laarich-Debbech (MLD), situé à environ 700 km au sud de Tunis. Sachant qu’Eni détient une participation de 50% et l'Entreprise tunisienne d'activités pétrolières (ETAP) les 50% restant.
La production de pétrole brut a régressé de 12 % durant le premier trimestre de cette année 2016, passant de 53.5 mille barils à 46.2 mille barils.
D’un autre côté, la production de gaz naturel a également reculé de 15% par rapport à la même période de l’année dernière, qui est passé de 6,8 à 5,8 millions de mètres cubes, selon la conjoncture énergétique publiée par le ministère de l’Energie et des mines.
Le député d''Ennahdha à l'ARP et président de la commission de l’industrie, de l’énergie, des ressources naturelles, de l’infrastructure et de l’environnement, Ameur Laarayedh a annoncé, vendredi 6 mai 2016, que les deux projets de loi relatifs aux permis de recherche d'hydrocarbures « Baguel » et « El Franig » ont été approuvé par la commission.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a fait remarquer dans un message à l’occasion du 45ème anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures, que les revenus pétroliers de son pays, 3e producteur africain de pétrole, avaient baissé de 70% depuis l'été 2014, alors qu'ils contribuent à hauteur de 60% au budget de l'Etat et représentent 95% des revenus extérieurs.
Selon le rapport annuel de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) sur les perspectives à moyen terme (2015-2021), l'écart entre l'offre et la demande de brut devrait se résorber en 2017 pour descendre à 100 000 barils par jour, contre 1,1 millions de barils par jours en moyenne en 2016, avec un ralentissement de la croissance de la production dans le monde. A moins d'un évènement géopolitique majeur, la reprise des cours sera toutefois ralentie par les énormes stocks accumulés, explique le rapport.
L'Arabie Saoudite et la Russie, les deux premiers producteurs mondiaux de brut, ont convenu de geler leur niveau de production à celui de janvier, à l'issue des pourparlers entre Ali Al-Naimi, ministre saoudien du pétrole et Alexander Novak, ministre de l'énergie russe, tenus aujourd'hui à Doha. Le Qatar et le Venezuela ont également accepté de faire de même selon Al-Naimi.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a fait savoir dans son dernier rapport mensuel, que le surplus sur le marché pétrolier devrait dépasser les prévissions tout au long du premier semestre 2016, et devrait s'établir à 1,75 millions de barils par jours contre 1.5 million prévus auparavant, ce qui accentue le risque d'une poursuite de la baisse des cours.
Les cours du brut ont évolué de façon mitigée cette nuit dans les échanges asiatiques, reflètant un marché attentiste après la réunion entre Ali al-Naimi, ministre saoudien du pétrole et son homologue vénézuélien Eulogio Del Pino, dimanche à Ryadh, pour examiner une éventuelle coopération entre les membres de l'OPEP pour stabiliser le marché, selon l'agence de presse saoudienne SPA, toutefois aucun pas concret n’a été pris en cette direction au terme de la rencontre.
Après Goldman Sachs fin décembre 2015, la banque américaine Morgan Stanley n'écarte pas à son tour la possibilité d'un baril de pétrole à 20$, mais souligne le renchérissement de la devise américaine comme principale cause, une hausse de 5% du dollar ferait baisser le prix du baril de 10 à 25% estime Adam Longson analyste chez Morgan Stanley. La surabondance a certes poussé le prix du baril sous les 60 dollars, mais la différence entre un baril à 55 et un baril à 35 dollars est principalement due à un dollar fort, ajoute la note de Morgan Stanley.
Le baril de WTI échangé à New York a atteint un nouveau plancher à 32,10$, soit une baisse de 5% aujourd'hui et 8,3% depuis le début de la semaine, évoluant au plus bas depuis le 29 décembre 2003, le Brent de la mer du nord s'est également enfoncé de plus de 5% à 32,16 dollars.