La production nationale de pétrole se limite désormais à 42 000 barils par jour, un plus bas niveau depuis 2010, puisque la production était de 80.000 barils par jour et n’a jamais cessé de reculer depuis la révolution pour atteindre 55.000 barils de pétrole par jour en 2014, puis 51.000 barils par jour lors des premiers mois de 2015, suite à l’arrêt de deux chantiers à Kébili, selon espacemanager.
La chute de production du pétrole en Tunisie est expliquée par le non renouvellement des permis de forage, le refus d’accorder de nouvelles licences d’exploration, le départ de nombreuses compagnies étrangères gênées par les législations contraignantes, les obstacles administratifs, la détérioration sécuritaire, les revendications sociales ainsi que le recul par l’assèchement de nos plus grands champs de pétrole à l’instar de celui d’Al Borma.
Les articles associés
-
146
-
242
-
338
-
386