Economie

Les investissements agricoles privés ont enregistré une hausse de 5,9 % en termes de valeur, en 2017, atteignant le montant de 555,2 millions de dinars, selon les chiffres publiés par l’agence de promotion des investissements agricoles (APIA).

L’expert-comptable, Anis Ouahabi a indiqué sur les ondes de radio Express FM, que les entreprises qui seront créées entre 2018 et 2019 ne seront pas soumises à l’impôt. Il a ajouté que les entreprises concernées ne doivent pas être actives dans les secteurs de la finance et des énergies. Il a expliqué en outre que l’impôt sur le bénéfice a été abaissé de 25% à 20% dans le cadre de la Loi de Finances 2018 en ce qui concerne les PME. En revanche et en ce qui regarde les grandes entreprises, cet impôt a été augmenté pour passer de 25% à 35%.

Dans sa note de conjoncture du mois de décembre 2017, la Banque Centrale de Tunisie, note une nette amélioration de l'activité économique au troisième trimestre 2017. Le taux de croissance du PIB aux prix constants de 2010, a atteint +0,7% en variation trimestrielle (V.T) et +2,1% en glissement annuel (G.A), soit les mêmes taux pour le PIB exprimé aux prix de l’année précédente. De ce fait, le taux de croissance, pour les neuf premiers mois de l’année, s’est établi à 1,9%.

La Banque Africaine de Développement (BAD) a approuvé l’octroi d'un nouveau prêt à la Tunisie, d’une valeur de 143 millions d'euros, afin de renforcer la transformation numérique du pays dans le cadre du projet national Tunisie Digitale 2020, et soutenir le au développement de compétences dans le domaine des technologies.

La directrice générale du Groupement interprofessionnel de la production maritime, Rakia Belkahia, a affirmé, sur les ondes d'Express FM, que les exportations des produits de la pêche maritime et de la pisciculture ont atteint une valeur globale de près de 400 millions de dinars. Il s'agit d'une hausse de 24% par rapport à la même période de l'année 2016.

La présidente de l’UTICA, Wided Bouchamaoui a mis l’accent dans une déclaration récentes sur les blocages causés par les dysfonctionnements dans le Port de Rades. Elle a souligné que les solutions à ces problèmes existent et peuvent faire économiser aux caisses de l’Etat jusqu’à 900 millions de dinars en se basant sur des études.