Après avoir décru au cours des années deux-mille, la dette financière de l’Etat s’est remise à gonfler depuis 2011. Toutefois, la véritable préoccupation que soulève la dette publique réside moins dans les sommes qui sont en jeu que dans l’usage qu’il en est fait. A la limite, il importe peu que l’endettement public enfle, l’important est que l’argent public soit mieux dépensé ; que la dette publique soit au service d’un effort réel pour la croissance et la préparation de l’avenir.
Alors que l’encours de la dette extérieure a quasiment stagné en 2013 (+1,3% en glissement annuel), l’encours de la dette intérieure a gonflé de +28,2% (en glissement annuel) et son service (intérêts + principal) de +35,5% en glissement annuel)
Consultez le rapport Peer Review: Tunisian Leasing Companies.
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