Cueillant les fruits du renouvellement de son outil de production, la SOTUVER a exposé, lors de son AGO tenue le 11 avril 2005, les performances réalisées au terme de l'exercice clos au 31/12/2004. En effet, la société

Cueillant les fruits du renouvellement de son outil de
production, la

SOTUVER
a exposé, lors de son AGO tenue le 11 avril 2005, les performances
réalisées au terme de l'exercice clos au 31/12/2004. En effet, la société est
parvenue à revenir dans le vert avec un résultat net bénéficiaire de 512,4 mDT,
pour un chiffre d'affaires en hausse notable de 77% à 18,2MDT et ce, par rapport
à l'exercice 2003. Il est à noter, qu'en 2004, la société a connu une année
pleine de production contre une année 2003 assez perturbée par l'installation de
la nouvelle  usine de Djebel El Oust.

Ceci étant, l'AGO a décidé de ne pas distribuer de
dividendes au titre de l'exercice 2004, au regard du report encore déficitaire
de l'exercice 2003. Il est à noter qu'aucune décision allant au-delà de
l'exercice 2004 n'a été prise en ce sens.

Par ailleurs, interrogé sur la façon dont la société
financera le deuxième four qui lui permettra d'augmenter sa production comme
cela a été précédemment annoncé, le management a précisé que la capacité
actuelle permettait de satisfaire la demande et d'accompagner son éventuelle
croissance, et que le timing de la concrétisation du projet de ce nouveau four
dépendait des opportunités à venir.

Concernant les perspectives 2005, le chiffre d'affaires de
la société devrait bénéficier de deux importants contrats à l'export vers le
marché algérien ainsi que les efforts déployés pour prospecter d'autres marchés
à l'étranger. En parallèle, les charges d'exploitation continueront à être
maîtrisées grâce aux performances du nouvel outil de production, ce qui devra
permettre d'affermir la rentabilité de la société.

Concernant le terrain de Mégrine, il n'a pas été encore
cédé faute d'acheteur, alors que la prime d'assurance liée à l'incendie qui a eu
lieu à l'ancienne usine n'a pas encore été encaissée faute d'un accord avec
l'assureur, les négociations étant toujours encours.