Le président de l’Instance Nationale de la Lutte Contre la Corruption (INLCC), Chawki Tabib, a annoncé que la corruption touchait 25% du volume global des marchés publics. Un pourcentage qui confirme la médiocre position de la Tunisie (75ème sur 176) dévoilée par Transparency International, en janvier 2017, dans son classement de la corruption dans le monde.
Pourtant, depuis 2011, la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption dans tous les secteurs étaient les maitres-mots scandés par toute la classe politique et notamment ceux qui se sont relayés au pouvoir. En six ans, la Tunisie a reculé de plus d’une quarantaine de places dans le classement de Transparency International qui s’est basé sur des données d’enquêtes collectées auprès d’une douzaine d’institutions indépendantes comme la Banque Mondiale ou le Forum mondial de Davos.
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