Petrofac aurait pu être un cas d’école pour restaurer l’autorité de l’Etat. Un Etat « normal » ne négocie pas avec des bandits, encore moins sous la pression. Il y’a une différence entre des demandeurs d’emploi et des énergumènes qui cassent les biens publics et privés, qui empêchent des entreprises de travailler, qui extorquent des fonds à l’Etat et aux entreprises privées et qui exigent des ministres de la république de venir négocier avec eux sur leur « terrain » à Kerkennah !