Le gouverneur de la Banque centrale, Marouan Abbasi a déclaré qu'il n'y avait aucune prise de conscience de la gravité de la situation, indiquant que des solutions existent, mais des priorités doivent être fixées d’abord. Il s’agit notamment de la discussion du programme de réformes avec le Fonds monétaire international afin que la pression sur le pays diminue et que les marchés financiers mondiaux et les agences de notation restaurent leur confiance en la Tunisie.