Selon le rapport macroéconomique de la Banque africaine de développement « Performances et perspectives macroéconomiques de l’Afrique», l’Afrique domine le classement des vingt pays à la croissance économique la plus forte au monde en 2024.
Selon les prévisions de la Banque africaine de développement (BAD) sur les perspectives économiques en Afrique en 2023 en Afrique du Nord, présenté lors d’une conférence de presse tenue mercredi par la BAD à Charm el-Cheikh en Egypte , à l’occasion de la tenue de la 58e Assemblée annuelle du Conseil des gouverneurs du Groupe de la BAD et la 49e Assemblée annuelle du Fonds africain de développement, la croissance devrait passer de 4,1 % en 2022 à 4,6 % en 2023 et à 4,4 % en 2024.
Le PIB moyen de l’Afrique devrait se stabiliser à 4 % au cours des deux prochaines années, contre 3,8 % en 2022, prévoit le rapport intitulé "Performances et perspectives macroéconomiques de l’Afrique 2023" de la BAD.
Le Groupe de la Banque africaine de développement a indiqué dans son rapport Performance et perspectives macroéconomiques de l’Afrique que la croissance économique de l’Afrique devrait dépasser celle du reste du monde au cours des deux prochaines années, avec un produit intérieur brut (PIB) réel d’environ 4 % en moyenne en 2023 et 2024. Ce chiffre est supérieur aux moyennes mondiales prévues de 2,7 % et 3,2 % .
Selon l’enquête du cabinet Deloitte Afrique et l’Africa CEO Forum du mois de juin 2022, la Tunisie ne figure pas parmi les 10 pays africains jugés les plus attractifs par les investisseurs privés africains, elle est classée au 16ème rang (ex-aequo avec le Cameroun).
Une facilité de 1,5 milliard de dollars pour aider les pays africains à prévenir une crise alimentaire "imminente", vient d’être approuvée par le CA du Groupe de la Banque africaine de développement. Cette initiative bénéficiera à 20 millions d’agriculteurs africains, qui recevront des semences certifiées et des technologies pour produire rapidement 38 millions de tonnes de denrées alimentaires, une initiative globale sans précédent, visant à aider les petits exploitants agricoles à combler le déficit alimentaire.
Avec 3,7 % de croissance, l’Afrique du Nord est la 2ème région la plus performante du continent en 2019.
Une récession économique prévue entre -0,8 et -2,3 points en 2020 pour la région.
Stabilité socio-économique, inclusion sociale, développement du capital humain sont des préalables nécessaires à la résilience et à la sortie de crise.
La pandémie de Covid-19, qui figure parmi les plus grandes crises sanitaire, économique et sociale de ce début de 21ème siècle, frappe durement les pays nord-africains.
Au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, la transparence sur les questions économiques critiques - comme la dette publique et l'emploi - sera un élément déterminant pour stimuler la croissance et renforcer la confiance dans les institutions publiques, selon le dernier bulletin d’information économique de la région publié par la Banque mondiale.
L’économie africaine est confrontée à un ralentissement profond et synchronisé et ne pourra s’en remettre qu’au bout de trois ans. Telle est la conclusion des ministres africains en charge de l’Economie et des Finances, réunis à Addis Abeba par visioconférence, cette semaine.
Le communiqué publié par la Commission économique pour l’Afrique (CEA) explique également que des baisses substantielles des recettes provenant de la baisse des prix des produits de base, associées à une augmentation des coûts des importations, exercent des pressions sur l’inflation et le taux de change.
Selon un communiqué publié par la BAD, la banque a levé trois milliards de dollars sur les marchés financiers internationaux à travers un emprunt obligataire social, destiné à atténuer les effets de la pandémie de Covid-19 sur la vie des populations africaines et les économies du continent.
Le Groupe de la Banque africaine de développement prend des initiatives pour apporter des réponses flexibles visant à réduire les graves effets économiques et sociaux de la pandémie de Covid-19 sur ses pays membres régionaux et sur le secteur privé africain.
Une initiative visant à promouvoir le commerce et l’investissement entre les Etats-Unis et l’Afrique « Prosper Africa » sera lancée à Tunis le 6 février prochain.
En marge de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD), le Premier ministre japonais, Shinzo Abe, a déclaré que le Japon investira 20 milliards de dollars sur trois ans en Afrique.
Le Japon s’intéresse, depuis plusieurs années, aux infrastructures et au développement humain sur le continent et a déjà annoncé son intention de promouvoir le développement des entreprises japonaises en Afrique.
Dans la 19 ème édition de son rapport Africa’s Pulse, la Banque Mondiale a mis l’accent sur le rôle que peut jouer la transformation numérique en Afrique. En ce sens, la BM a indiqué que la révolution numérique est l’une des clés de croissance inclusive et de la création d’emplois en Afrique.
La Banque Mondiale déplore néanmoins que l’accès à internet reste encore trop faible. Pour y remédier, le rapport appelle les pays africains à investir dans les infrastructures et dans la formation des jeunes.
Selon un nouveau rapport de la Banque mondiale, la croissance économique dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MENA) devrait se contracter légèrement en 2019, à 1,5 %, contre 1,6 % en 2018. Malgré ce fléchissement, la situation devrait s’améliorer en 2020 et 2021, avec une reprise modeste de respectivement 3,4 et 2,7 %.