Après une année 2016 marquée par une sécheresse exceptionnelle et une croissance faible de seulement 1,2 %, le Maroc devrait enregistrer un taux de 4,8 % en 2017, selon le ministre marocain de l'Économie et des Finances, Mohamed Boussaid.
Le déficit budgétaire devrait être revu à la baisse, passant de 4,1 % l'an dernier à 3,5 % cette année, alors que le déficit du compte courant devrait reculer à 4 % cette année, cibtre 4,4 % en 2016. Par ailleurs, le taux d’inflation s'est situé à 0,9 % au cours des six premiers mois de l'année.