L’universitaire Chokri Mamoghli a évoqué certains problèmes qui handicapent l’économie tunisienne et quelques solutions pour y remédier, à l’occasion d’un débat organisé par le magazine L’Economiste Maghrébin.
Pour Chokri Mamoghli, la priorité actuelle est de mesurer l’écart entre le marché formel et le marché noir dans la mesure où une grande partie de flux de devises, issue de nos échanges avec l’extérieur, ne passe pas par la Banque Centrale de Tunisie.
En ce sens, agir sur l’économie informelle peut améliorer grandement le niveau du taux de change sachant que ce dernier est une variable endogène, vu comment sont organisés nos échanges extérieurs, notamment avec les pays voisins comme l’Algérie et la Libye.
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