SOTRAPIL : - Communiqué de la société sur ses réalisations intermédiaires arrêté au 30/06/2006.[Suite]

Date: 14/01/2019Unité monétaire: TND
Valeur nominale5Nbre d'actions3 864 861
Dernier cours14.600PER (sur 1 année) / marché17,68x/10,76x
Var. der. clôture %0BPA (sur 1 année)0.826
Bidn.dDer. dividende0,500
Askn.dDate Distribution18/06/2015
Cap. Boursière56 426 971Var. sur 1 an14.600->14.600
MM(20)-MM(50)14,600-14,600Rdt ajusté depuis le 31/12/2023nc
Echg. quot. moyen (sur une année)0Advance/Decline (sur une année)0 hausses / 0 baisses

A la demande d'un certain nombre d'actionnaires et
d'intermédiaires boursiers, et dans un souci d'information, de clarté et de
précision, le management de la

SOTRAPIL
informe ses actionnaires et le public que le conseil
d'administration réuni le 24 Août 2006 en présence du commissaire aux comptes a
examiné, analysé puis approuvé les états financiers intermédiaires relatifs au
premier semestre de l'année en cours.

Certains points méritent d'être soulignés. Il s'agit de ce
qui suit :

S’il est vrai que le total des produits d'exploitation a
augmenté de 12,97% par rapport au premier semestre 2005, il y a lieu de signaler
que cet accroissement aurait été bien plus consistant n’eut été la baisse des
quantités de pétrole lampant transporté (-34,77% par rapport au 30/06/05), et si
les prévisions sur le gasoil pour le mois de Juin dernier avaient été plus
proches des besoins réels.

L'explication a été retrouvée lorsque après le 30/06/06 la
programmation a été révisée à la hausse, notamment le gasoil avec un plus
transporté de 13253m3.

En effet, d'ores et déjà on peut affirmer que les quantités
transportées au cours de la saison estivale dépasseront d'environ 12% celles du
second trimestre 2006.

Par ailleurs on n'insistera jamais assez sur le fait que la
baisse concernant le pétrole lampant sur une période marquée est un choix
réfléchi de l'État visant à faire mesurer à certains distributeurs détaillants
(une minorité) la gravité de recourir au frelatement du carburant. Le P.L
reprendra sa place dans la consommation en automne puis plus fortement en hiver.

- L'impact de la baisse des produits de placements ne peut
être contesté. Toutefois, il y a lieu de se féliciter que les fonds aient servi
au financement du projet «jet» sans recours quelconque à l'endettement.

- L'impôt a été calculé sur la base de 35%, la
période de cinq années après introduction en bourse s'étant écoulée.

Il est clair que l moment des bénéfices qui seront
réinvestis serait déduit du montant de l'assiette imposable à concurrence de
35%. Le moment venu c'est bien entendu le projet "Skhira - le Sahel" et
démarrage de la réalisation de ce projet majeur qui en sera le déclencheur.

Sotrapil (31/08/2006)

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