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Après Goldman Sachs fin décembre 2015, la banque américaine Morgan Stanley n'écarte pas à son tour la possibilité d'un baril de pétrole à 20$, mais souligne le renchérissement de la devise américaine comme principale cause, une hausse de 5% du dollar ferait baisser le prix du baril de 10 à 25% estime Adam Longson analyste chez Morgan Stanley. La surabondance a certes poussé le prix du baril sous les 60 dollars, mais la différence entre un baril à 55 et un baril à 35 dollars est principalement due à un dollar fort, ajoute la note de Morgan Stanley. 

Dans le cadre de l’ouverture de la Conférence internationale “Financing investment and trade in Africa, FITA 2021”, se tenant les 25 et 26 juin à Tunis, le gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie, Marouane El Abassi a donné une allocution au cours de laquelle, il a estimé que la lutte contre la pandémie du Covid-19 représente une priorité absolue. Il a mis l’accent sur la nécessité de vacciner le plus grand nombre de la population.

En juin 2018, les prix à la consommation augmentent de 0,5% après une augmentation de 0,4% le mois précédent. Cette évolution résulte principalement de la hausse des articles d’habillement de (2,0%) et les services de (0,5%).

Sur un mois, les prix des produits alimentaires diminuent de 0,3% suite à baisse des prix des fruits frais de 3,1%, des légumes frais de 2,7% et des poissons frais de 0,3%.

Sur la place de Tunis, le compartiment interbancaire a été peu animé. Le dinar tunisien a reculé face à l’euro qui s’est échangé à 3.380 dt contre 3.3780 dt le mardi et s’est stabilisé face au dollar américain qui s’est échangé à 2.9980 dt.

Sur le marché de change international, l’euro a peu changé, avec un EUR/USD à 1,1169, les investisseurs restant méfiants avant les élections européennes qui doivent débuter jeudi.