Le président du Cercle des financiers tunisiens, Abdelkader Boudriga a déclaré sur les ondes de radio Express FM, que l’augmentation de 11,2% du service de la dette publique s’explique par l'aggravation du déficit budgétaire résultant lui-même du déséquilibre entre les dépenses publiques et les recettes de l'État. Il a ajouté que le taux d'endettement public est passé de 38 % en 2010 à plus de 90 % à la fin de cette année.