Le ministre des finances, Ridha Chalghoum, s'est adressé cette semaine au voix qui s'opposent à la politique d'endettement de la Tunisie, appelant à une concertation sur les alternatives possibles, comme l'augmentation des recettes fiscales ou la réduction des dépenses publiques. En l'absence de consensus sur ce sujet, l'Etat devra poursuivre son recours à la dette, a insisté le ministre.