Le conseil des ministres du 9 février, présidé par la cheffe du gouvernement Nejla Bouden, a approuvé entre autres le décrêt-loi amendant la loi n°89-9 du 1er février 1989 relative aux participations et entreprises publiques.
La refonte de cette loi serait le dernier élement bloquant le prêt du FMI et expliquerait la déprogrammation de l'examen du dossier tunisien en décembre 2022. La Tunisie avait auparavant obtenu un staff level agreement sur un programme d'appui financier de 1,9 milliard de dollars sur 48 mois.