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Le voyagiste numéro 1 mondial TUI, a annoncé une perte de 764 millions d'euros entre janvier et mars, conséquence de la pandémie de COVID-19 qui a mis ses activités à l'arrêt.

Le tour opérateur a annoncé un plan de réduction des couts, pour faire face à la dette liée au prêt d'urgence de 1,8 milliard d'euros garanti par l'Etat Allemand, l'objectif étant de réduire durablement de 30% les charges administratives.

Ainsi, TUI compte supprimer 8000 postes dans le monde, soit une réduction de plus de 10% de son effectif.

Selon le dernier numéro de Tema, le gouvernement allemand s'attend à la pire récession depuis 1970 avec une baisse du PIB de 6,3 % attendue cette année.

Le déficit budgétaire estimé des administrations publiques allemandes s'élèverait cette année à 7,3 points de PIB et le ratio de dette publique atteindrait 75,3% du PIB.
 

L’Organisation Internationale du Travail (OIT) vient de publier les dernières données relatives à l’impact de la pandémie du Covid-19 sur le marché du travail. Ces données font part d’effets dévastateurs aussi bien sur les travailleurs de l’économie informelle que sur des centaines de millions d’entreprises de part le monde.

L’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) a débloqué 8 milliards d’euros en faveur de ses Etats membres (Côte d’Ivoire, Sénégal, Niger, Togo, Bénin, Mali, Guinée-Bissau et Burkina Faso) pour faire face à la crise sanitaire mondiale liée au Coronavirus.

Les ministres des finances et les banquiers centraux du groupe G20 se sont mis d’accord pour suspendre durant une année, avec effet immédiat, les remboursements de dettes pour les pays les plus pauvres.

Le communiqué publié par le groupe explique qu’un accord a été trouvé sur une approche coordonnée avec un échéancier commun fournissant les principales caractéristiques de cette initiative qui a également été approuvée par le Club de Paris.

Les principaux pays producteurs de pétroles, ont conclu dimanche un accord pour une baisse de la production, mettant fin à la guerre des prix, que se sont livrés principalement l'Arabie Saoudite et la Russie, entraînant les cours pétroliers à des niveaux inédits depuis 18 ans.

L'OPEP et ses partenaires, avec la Russie comme chef de file, se sont accordés sur ce qui serait la plus forte baisse de la production de l'histoire pour faire remonter les prix, et ce à partir du mois de mai, et pour une période de deux mois.