Après l’Allemagne et l’Italie, la France envisage à son tour de convertir une partie de la dette tunisienne, soit 60 millions d’euros, en projets de développement. Un accord en ce sens sera scellé au cours de la visite qu’effectue actuellement Béji Caied Essebi à Paris. Il sera également question d’un soutien pour la protection des frontières avec la Lybie, et d’un appui aux forces de l’ordre tunisiennes.