La Tunisie vient de revoir encore une fois à la baisse ses prévisions de croissance à 0,5%, selon les propos de Slim Chaker, ministre des finances rapportés par l’agence Reuters, et mettant principalement en cause l’impact des deux dernières attaques terroristes sur le secteur touristique, qui représente 7% du PIB, ainsi que les exportations de phosphates perturbées par les mouvements sociaux.