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92 ème du classement Davos sur la compétitivité globale, la Tunisie a perdu 5 places comparé au rapport 2014, et se retrouve au 10 ème rang arabe, derrière le Qatar, qui gagne 2 places et devient 14 éme, les Emirats Arabes Unis, 17 éme cette année et 12 éme en 2014, l'Arabie Saoudite qui perd une place pour se classer 25 éme mondiale, le Koweït qui passe à 34 éme position gagnant 6 places, le Bahreïn qui passe de la 44 éme à la 39 éme position, le sultanat d'Oman, 62 ème (46ème en 2014), la Jordanie qui reste au 64 ème rang mondial comme en 2014, puis le Maroc, toujours 72 ème, et l'Algérie

Au terme du premier semestre 2016, les indicateurs d’activité et de performance de la Société Tunisienne de Banque ont évolué comme suit :

1) Les dépôts de la clientèle ont enregistré une progression de 12,6 MD ou 0,2% entre juin 2015 et juin 2016 se détaillant comme suit :

- Dépôts à vue : - 77,8 millions de dinars ou - 3,8% pour s’établir à 1.976,4 millions de dinars et représenter 36,5% de l’ensemble des dépôts à fin juin 2016 contre 2.054,2 millions de dinars ou une part de 38 % à fin juin 2015.

Le ministre des Finances, Ridha Chalghoum, a évoqué le taux de croissance de la Tunisie, à l’occasion d’une séance d’audit sur le projet de loi de finances 2018. Il a ainsi affirmé que la croissance devrait atteindre 2,2% en 2017, soit donc 0,6% de plus que l’année précédente. Ces prévisions sont semblables à celles présentées par la Banque Mondiale et le FMI qui tablaient sur une croissance de 2,3% en 2017.

Le Conseiller auprès du chef du gouvernement chargé de la fiscalité, Faycel Derbel a indiqué que le déficit budgétaire ne cesse de se creuser et se situe actuellement entre 5,5% et 6% du PIB. Il a souligné, à ce titre les efforts déployés en vue de réduire ce déficit et éviter par ricochet, une hausse de l’endettement.