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L'aéroport de Dubaï a annoncé une hausse de 10,7% de son trafic en 2015 comparé à l'année précédente, dépassant les 78 millions de passagers internationaux, et gardant la première position au niveau mondial après avoir surclassé l’aéroport londonien de Heathrow en 2014.

Cette hausse provient essentiellement des 10,4 millions de passagers indiens, en hausse de 17% par rapport à 2014, suivi par les britanniques dont le nombre a augmenté de 6% à 5,7 millions, puis les saoudiens, +12% à 5,5 millions de passagers.

Le Baltic Dry Index a atteint un plus bas historique, chutant de 25,7% depuis le début de l’année à 355 $ et de 52,6% en glissement annuel.

Cet indicateur suit l'évolution des tarifs du transport maritime (principalement minerais, charbon et céréales), pour les produits de base en vrac mais constitue également un bon indicateur du dynamisme du commerce mondial. Le commerce mondial portant essentiellement sur des biens, il croît désormais moins rapidement que le PIB mondial.
 

Selon le dernier rapport publié par Ernst & Young, l’Inde représente le pays le plus attractif pour l’investissement, 32% des investisseurs internationaux, la considèrent comme le meilleur endroit pour faire des affaires. En ce qui concerne, les autres meilleures destinations pour l’investissement, à la deuxième place la Chine, suivie par l’Asie du Sud-Est, avec 15% et 47% respectivement.

Le constructeur automobile français Renault a vécu une journée noire hier, accusé d'avoir dépassé les normes d'émission de gaz, le groupe a perdu 10,28% en bourse à la clôture, jeudi, et jusqu'à 22% en cours de séance. Ce mouvement intervient après l’annonce de perquisitions sur trois des sites du Groupe menées par la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF).

Le président de l’OPEP et ministre d'État nigérian des ressources pétrolières, Emmanuel Ibe Kachikwu a invité, depuis Abou Dhabi, les pays membres du cartel à tenir une réunion extraordinaire début mars, pour examiner la chute des prix du pétrole qui évoluent aujourd'hui à leur plus bas depuis 12 ans. Les cours du brut sont toujours ébranlés par l’excès de l’offre et la faiblesse des indicateurs chinois ainsi que le renchérissement de la devise américaine.