L’emprunt obligataire « TLF 2020-1 » est d’un montant de 15 Millions de dinars, susceptible d’être porté à 30 Millions de dinars, divisé en 150 000 obligations, susceptibles d’être portés à 300 000 obligations de nominal 100 dinars. Le montant définitif de l’emprunt « TLF 2020-1 » fera l’objet d’une publication aux bulletins officiels du CMF et de la Bourse des Valeurs Mobilières de Tunis.
Les souscriptions au présent emprunt obligataire seront ouvertes le 16/03/2020 et clôturées sans préavis au plus tard le 28/05/2020. Elles peuvent être clôturées, sans préavis, dès que le montant maximum de l’émission (30 000 000 DT) est intégralement souscrit. Les demandes de souscription seront reçues dans la limite des titres émis, soit un maximum de 300 000 obligations.
TUNISIE LEASING ET FACTORING a prévu pour l’année 2020 des mises en force qui s’élèvent à 440 millions de dinars. Ces mises en force seront financées à hauteur de 60 millions de dinars par des emprunts obligataires (dont 15 millions susceptibles d’être portés à 30 millions de dinars, objet de la présente note d’opération), 159 millions de dinars par des crédits bancaires et des crédits extérieurs.
L’agence de notation Fitch Ratings a attribué la note BBB (tun) à l’emprunt en date du 18/02/2020.
La note nationale BBB indique des créances pour lesquelles l’aptitude au paiement en temps et en heure du principal et des intérêts est adéquate, comparativement aux autres entités émettrices de dettes dans le pays. Cependant, une évolution défavorable des facteurs d’exploitation ou des conditions économiques et financières pourrait affecter cette aptitude dans une plus large mesure que pour les créances notées dans les catégories supérieures. Les signes « + » et « - » indiquent des nuances de qualité.
La note nationale F3 indique des créances pour lesquelles l’aptitude au paiement en temps et en heure du principal et des intérêts est adéquate, comparativement aux autres entités émettrices de dettes dans le pays. Toutefois cette aptitude au paiement en temps et en heure est plus sensible aux évolutions défavorables des conditions économiques et financières que pour les créances notées dans les catégories.