La signature de l’accord ALECA avec l’UE n’a pas fait que des heureux. Certaines voix pointent ainsi du doigt le fait que l’agriculteur tunisien sera le grand perdant dans la mesure où la Tunisie sera un marché ouvert aux produits agricoles européens, massivement subventionnés.
En ce sens, Abdelkhalek Ajlani, membre du bureau exécutif de l’UTAP, chargé de la coopération internationale, de l’exportation et du partenariat a invoqué la nécessité de mettre en place un programme national de mise à niveau du secteur agricole, pour le préparer à la concurrence avec l’Europe.