Le vice-président de la Banque mondiale pour la Région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Ferid Belhaj, a écarté dans une interview accordée à Bloomberg un éventuel défaut de la Tunisie, un scénario que son organisation n'envisage pas.
Les pourparlers avec la banque mondiale et le FMI pourraient offrir de nouvelles perspectives pour le pays, et idéalement aboutir à un résultat positif.
Les indicateurs économiques de la Tunisie ne sont pas très bons mais pointent vers la reprise, a indiqué le responsable, "je vois personnellement une sorte de lumière au bout du tunnel" a-t-il ajouté.
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